Au dessus du niveau sécurité, sous le dôme, Ground 0 abrite les rescapés de la guerre qui n'ont été pas été déportés. La plupart des habitants des quartiers d'habitation travaille pour Hydrox. Les étages supérieurs nouvellement construits sont réservés aux cadres de l'entreprise et autres patriciens, tandis que les ouvriers et (nombreux) chômeurs souvent occupés à quelque travail au noir survivent au ras du sol, occupant, dans les niveaux inférieurs, des logements de fortune, de petits appartements très concentrés, et des capsules d'habitation individuelle, quand ils ne vivent pas dans la rue en attendant d'être ramassés par Hydrox. Certains sont régulièrement déportés, notamment pour lutter contre la surpopulation, l'essentiel de ce qu'il reste de l'humanité vivant dans le complexe. L'on estime le nombre d'habitants de Ground 0 city à environ 80.000 personnes, ce qui est un peu plus que ce que la cité peut théoriquement contenir. Ceci entraîne une pression sur le marché du logement administré par Hydrox. De ce fait, un marché noir s'est développé dans les bas quartiers, de nombreux rescapés sous-louant leur petit appartement, leur capsule ou leur bout de couchette. Un grand nombre des habitants de ces quartiers est employé par Hydrox et/ou travaille pour les patriciens, qui constituent la classe la plus aisée du complexe. Si l'on ne tient pas compte des contrats d'obligation, les seuls employeurs sur site sont Hydrox, ses filiales, et le semblant d'administration civile qui légitime politiquement les pratiques de l'entreprise.
Au dessus du
niveau sécurité, sous le
dôme protecteur,
Ground 0 abrite les
rescapés de la
dernière guerre qui n'ont été pas été
déportés. La plupart des habitants de ce niveau travaille pour
Hydrox. Les
étages supérieurs nouvellement construits sont réservés aux
cadres de l'entreprise et autres
patriciens, tandis que les ouvriers et (nombreux
[1]) chômeurs souvent occupés à quelque travail au noir survivent au ras du sol, occupant, dans les
niveaux inférieurs, des logements de fortune, de petits appartements très concentrés, et des capsules d'habitation individuelle, quand ils ne vivent pas dans la rue en attendant d'être ramassés par Hydrox.
Certains sont régulièrement
déportés, notamment pour lutter contre la surpopulation, l'essentiel de
ce qu'il reste de l'humanité vivant dans le complexe.
L'on estime le nombre d'habitants de Ground 0 city à environ 80.000 personnes, ce qui est un peu plus que ce que la cité peut théoriquement contenir. Ceci entraîne une pression sur le marché du logement administré par Hydrox. De ce fait, un marché noir s'est développé dans les bas quartiers, de nombreux rescapés sous-louant leur petit appartement, leur capsule ou leur bout de couchette. Un grand nombre des habitants de ces quartiers est employé par Hydrox et/ou travaille pour les patriciens, qui constituent la classe la plus aisée du complexe. Si l'on ne tient pas compte des contrats d'obligation, les seuls employeurs sur site sont Hydrox, ses filiales, et le semblant d'administration civile qui légitime politiquement les pratiques de l'entreprise.
L'économie de cette nouvelle société repose ainsi sur une stricte division entre les étages supérieurs, consommateurs, et les étages inférieurs, producteurs.
Mais dans les sous-sols, où règne la loi de la jungle, l'armée fait régulièrement des raids, arrêtant des personnes que l'on ne revoit jamais plus...
INF0RMATI0NS DÉV0ILÉES DANS L'ÉPIS0DE 2
Au plus profond des sous-terrains se trouvent le quartier des déportés, celui des
anciens détenus, et celui des irradiés : Hydrox ne pouvant utiliser les habitants des catacombes pour produire des biens tels que l'
air artificiel, l'entreprise s'en sert comme cobayes pour ses
expériences.
Notes et références
- ↑ 0n estime le taux de chômage à environ 21% dans les bas-quartiers de Ground 0 city.